J'ai dépassé le demi-siècle. Je gagne ma vie en faisant l'acteur. Mais ce n'est pas cette profession qui m'a conduit à la cristallisation sensible mais ma découverte que j'étais sourcier en 2006, à l'occasion de ma rencontre avec mon géniteur.
Je ne me suis pas contenté de constater que les baguettes de sourcier bougeaient dans mes mains. J'ai développé une activité pour constater que des puits pouvaient être creusés aux endroits où je le disais et à la profondeur que j'annonçais.
Puis, j'ai rencontré des sourciers magnétiseurs et je me suis essayé au magnétisme. J'ai coupé le feu plusieurs fois (arrêter les brûlures), soigné des eczémas, maux de têtes, insomnies et autres bobos.
Ce qui me carractérise par rapport à d'autres pratiquants de ces domaines, c'est que je rejète les dogmes de tous poils. N'étant pas un intellectuel, j'ai besoin d'éléments visibles et concrets pour accepter des concepts qui, sans cela, restent pour moi au rang de la croyance.
C'est dans cet esprit que j'ai abordé la cristallisation sensible : rendre visible de petites parts d'invisible.
Bernard B.
